Pathologies

Nos chiropracteurs pédiatriques à Toulouse

Prenez rendez-vous avec nos chiroprateurs à Toulouse spécialisés en chiropraxie pédiatrique.

Nos chiropracteurs spécialisé en pédiatrie à Toulouse.
Louisa Dauzats chiropracteur pédiatrique à Toulouse aide un enfant.

Qu’est-ce que la chiropratique pédiatrique ?

La chiropraxie pédiatrique vise à diagnostiquer prévenir et traiter les troubles musculo-squelettiques et nerveux chez les enfants. Nos chiropracteurs pédiatriques à Toulouse sont particulièrement utiles pour aider les enfants en cas de maux de tête, douleurs de croissance, troubles du sommeil, troubles de l’apprentissage, frein restrictifs buccaux etc …

Comment nos chiropracteurs pédiatriques à Toulouse travaillent avec les enfants

Nos chiropracteurs peuvent utiliser une variété de techniques pour le soin des enfants, notamment l’ajustement. Ces techniques sont douces et respectueuses du corps des enfants de leur naissance jusqu’à l’adolescence.

Nos chiropracteurs à Toulouse travaillent également sur les réflexes néo-nataux retenus qui bloquent ou ralentissent votre enfant dans son apprentissage.

Ils sont également formés à détecter et à corriger les freins restrictifs buccaux. C’est une aide pour tous les moments de la vie de votre enfant : allaitement , diversification, phonation et diction, déglutition …

Les chiropracteurs pédiatriques sont des professionnels de première intention et sont formés à rediriger les patients si la pathologie sort de leur champs de compétence. Si nécéssaire le chiropracteur travaille en collaboration avec d’autres professionnels de la santé, tels que les pédiatres, dentistes, orthophonistes IBCLC ou psychomotriciens, pour offrir un plan de traitement complet à votre enfant en fonction de ses besoins et de son âge.

En résumé, nos chiropracteurs à Toulouse aident les enfants de manière douce en utilisant des techniques adaptées.

Allaitement

Un allaitement doit être agréable et sans douleurs. Allaiter est naturel mais pas inné ! Pour être dans les meilleures conditions il faut savoir reconnaitre les situations anormales et s’entourer de professionnels formés.

Un allaitement douloureux. Un bébé qui s’épuise au sein, rendant les tétées interminables et inconfortables ou très nombreuses et très courtes. Un bébé qui pince le mamelon, créé des crevasses, des plaies, une mauvaise vascularisation ou des cloques.

Une baisse de la lactation. Une courbe de poids qui change.
Il est possible que les freins restrictifs buccaux en soient la cause. N’arrêtez pas d’allaiter pour ces raison : des solutions existent !
Comment repérer si mon bébé a des freins restrictifs buccaux ?

  • Votre allaitement est-il confortable pour vous et votre bébé ?
  • Votre bébé ferme-t-il correctement la bouche autour de votre mamelon ?
  • Prend-t-il le sein avec la bouche grande ouverte et les lèvres retroussées ?
  • Votre mamelon est-il déformé après la tété ?
  • Y a-t-il des coulures de lait ?
  • Entendez vous des bruits d’air ?
  • Met-il votre mamelon entier dans sa bouche ou reste-t-il sur l’avant ?
  • A-t-il beaucoup de gaz ou de reflux ?
  • A-t-il des cloques sur les lèvres ?
  • Arrive-t-il à tirer la langue jusqu’à son menton ?
  • Monte-t-il la langue lorsqu’il pleure ?
  • Reste-t-il souvent du lait sous sa lèvre supérieure ?
Ces différents points sont des signes de freins restrictifs buccaux.
Votre chiropracteur formé à la détection et aux soins des freins restrictifs va analyser la fonction et la mobilité de la bouche de votre bébé, tout en prenant en compte le reste de son corps : tout est relié !

Vous aurez des exercices à réaliser à la maison pour maintenir et faire progresser le traitement réalisé lors des séances.
Nous évaluerons ensuite les effets du traitement sur les problématiques qui vous ont conduit à prendre RDV. Un travail pluridisciplinaire est important nous pourrons vous rediriger vers des kinésithérapeutes, consultants en lactation IBCLC ou dentistes pour une frénèctomie.

Diversification alimentaire

Pour passer d’une alimentation uniquement liquide à des morceaux, nos petits vont passer par différentes phases de développement et d’apprentissage de leur oralité.

La DME ( diversification menée par l’enfant) est un très bon outil pour allier confiance en soi, satisfaction, motricité fine, coordination et apprentissage des textures. Il est plus facile de se rendre compte si des tensions sont présentes si l’enfant présente des difficultés :

  • Il n’utilise qu’une de ses main pour prendre les aliments
  • N’arrive pas à prendre les aliments de la même manière des deux mains
  • PRefuse certains types d’aliments ou de textures
  • A un réflexe nauséeux qui persiste
  • Ne mâche que d’un seul coté
Il est moins aisé de s’en rendre compte en diversification classique, quelques points peuvent nous alerter si votre enfant :

  • Refuse les textures autres que lisses 
  • Recrache systématiquement les petits morceaux dans ses purées 
  • A un réflexe nauséeux à chaque fois qu’il avale 
  • N’accepte pas les nouveaux aliments 
  • A une sensibilité particulière à certains aliments 
  • A une hypersensibilité au niveau de la bouche

Tous ces points sont abordés lors du suivi en chiropraxie pédiatrique ! Ces problématiques peuvent être liées à des freins restrictifs buccaux, des tensions dans le cou ou la mâchoire et peuvent amener l’enfant à refuser certaines textures ou certains aliments. Le suivi chiropratique pourra faire un point sur chaque problématique et évaluer la meilleure prise en charge.

Phonation, prononciation

La prononciation demande une grande diversité de mouvement. Chaque son requiert un positionnement different des lèvres et de la langue. Certaines tensions jusque là passées inaperçues peuvent alors se faire remarquer.


Le traitement le plus pratiqué pour aider les enfants à avoir une meilleure diction est la lecture, or si des tensions sont présentes, les séances de lectures n’apporteront que peu de bénéfices.
Un enfant qui n’articule jamais, parle tout bas, mâche ses mots ou zozote peut avoir des tensions qui l’empêchent de faire autrement. Et même en essayant de bien faire il peut se retrouver face à ses difficultés et être en situation d’échec.

Ces tensions peuvent se trouver au niveau de la mâchoire, de la bouche, du cou, du crâne ou même du thorax. La plupart du temps les enfants ne se plaindront pas de ces régions car elles ne sont pas douloureuses et font partie de leur normalité !
Une prise en charge chiropratique grâce à une compréhension globale du corps de votre enfant et une pluridisciplinarité aidera à la découverte et le développement du langage de votre enfant.

Motricité

La motricité globale de votre enfant sera suivie par votre chiropracteur. Il est important que chaque étape vers la marche soit réalisée sans tensions ni difficulté avant de passer à la suivante. Cela à une incidence sur son schéma de marche globale mais également sur chacun de ses schémas de mouvement futur. Vous pouvez observer chez votre enfant :
  • Difficultés à se retourner d’un coté 
  • Ne sait se retourner que dos-ventre ou ventre-dos 
  • Avance en rampant en tirant toujours le même bras/ la même jambe
  • N’attrape les objets qu’avec une de ses mains
  • Ne supporte pas de rester allonger sur le dos ou le ventre 
  • Ne supporte pas d’être en enroulement ou en porte bébé 
  • Se tourne toujours du même coté pour regarder quelque chose 
  • Tourne toujours la tête du même coté ou refuse de s’endormir avec la tête d’un coté 
  • Passe son temps à essayer de se redresser 
  • Fait du 3 pattes 
  • Fait du tiré-assis
  • Passe de la position assise à la position à plat ventre directement vers l’avant 
  • N’a jamais rampé
  • N’a pas fait de 4 pattes 
  • S’assoit les jambes en W 
  • Met toujours la même jambe en avant pour se lever 
  • Marche sur la pointe des pieds 
  • Tombe en arrière 
  • Ne met pas les mains pour se protéger en tombant 
  • Chute souvent sans raison ou s’emmêle les pieds
Si l’une de ces questions est vraie pour votre enfant c’est qu’il à besoin d’un coup de pouce ! 

Plus nous attendons plus nous avons de travail à rattraper. Ces difficultés sont communes mais peuvent être évitées et corrigées.

Sans suivi les enfants en bonne santé ayant ces asymétries arriveront à marcher. Mais auront plus de difficultés à apprendre à faire du vélo, à nager, à pratiquer un sport, à danser, à ressentir la position de leur corps, à être bien coordonné, à se protéger en cas de chute  etc… toute leur vie!

Nous vous accompagnerons pour que votre enfant développe le meilleur schéma corporel possible pour qu’il se sente bien dans son corps. En fonction des besoins nous nous entourerons de psychomotriciens, kinésithérapeutes ou orthophonistes.

Plagiocéphalie ou tête plate

La plagiocéphalie est très courante chez les bébés (1 enfant sur 5), et nécessite une prise en charge rapide et pluridisciplinaire pour être traitée efficacement.

Un aplatissement de la tête n’est pas normal. Une idée répandue est qu’il ne s’agit que d’un défaut esthétique n’ayant pas de conséquences sur l’enfant. Voyons une raison qui montre le contraire :

Si une plagiocéphalie est présente cela signifie que l’enfant a un coté préféré pour tourner sa tête. Plus la plagiocéphalie est présente plus l’enfant gardera cette position, aggravant la situation. Avez vous déjà essayé en étant allongé sur le dos, de regarder vos mains et votre environnement tout en gardant la tête tournée d’un coté ? Vous aurez beaucoup de difficultés.
Nos bébés sont en plein développement, ils comprennent à peine que ce qui passe souvent devant leurs yeux sont leurs propres mains !

La plagiocéphalie va entraîner des difficultés pour percevoir et comprendre leur environnement ainsi que la prise en compte d’une partie de leur propre corps.

 

Il est important de prendre en charge et de réduire les plagiocéphalies ! Le suivi permet de comprendre les causes de la plagiocéphalie et de les traiter au mieux tout en réduisant les déformations du crâne. En fonction des besoins nous nous entourerons de kinésithérapeutes formés.
Les casques ou les coussins contre la plagiocéphalie :

Les casques ne sont pas adaptés, ils leurs donnent de mauvaises informations :

  • distance entre leur tête et un objet
  • sensation sur leur crâne
  • poids de leur tête

Les coussins ne sont pas adaptés non plus : ils incitent les parents à laisser les enfants allongés sans bouger. Or c’est par le mouvement que le crâne retrouvera une belle forme arrondie et que l’enfant retrouvera un schéma de mouvement correct.

Réflexes archaïques

Les réflexes archaïques aussi appelés réflexes primitifs sont des mouvements automatiques involontaires présents depuis la vie intra utérine.

Nos schémas de mouvement sont basés sur ces réflexes qui petit à petit vont devenir de plus en plus précis, conscients et volontaires.
Par exemple à la naissance un nouveau-né va avoir :

-Le réflexe de succion lui permettra de têter.
-Le réflexe palmaire lui permettra de s’agripper à ses parents en fermant très fort ses poings.

Ces actions sont inconscientes chez le nouveau né. En grandissant ces réflexes s’intégreront et laisseront place à une utilisation fine de la bouche pour articuler et déglutir correctement sans forcer ; et des mains en faisant des gestes fins, précis et mesurés.

Certains évènement de vie intra utérine, une naissance traumatique, une chute ou des tensions empêcheront ces réflexes de s’intégrer. S’en suivra alors une rétention des réflexes.

-Le réflexe de succion retenu poussera sa langue en avant de manière involontaire, cela empêche d’articuler et de manger correctement. L’action répétée de la langue sur les dents pourra engendrer la nécessité de faire de l’orthodontie.

-Le réflexe palmaire retenu gardera sa main fermée et serrée autour de tous les objets pris en main sans possibilité de se détendre. Pas facile d’apprendre à écrire avec le poing fermé autour du crayon ! Il peut aussi rendre maladroit par manque de précision.
Beaucoup d’autres symptômes de rétention existent ainsi que beaucoup d’autres réflexes, avec chacun leurs symptômes de rétention.

Aider votre enfant à intégrer ses réflexes archaïques changera de nombreuses problématiques qui le ralentissent tous les jours.
Un suivi chiropratique l’aidera à se developper le plus adéquatement possible en partenariat avec des psychomotriciens, des kinésithérapeutes ou des orthophonistes selon les réflexes en cause.

Motricité libre

La motricité libre laisse faire l’enfant dans la découverte de son corps et de son monde sans que l’adulte ne fasse à sa place. Le parent le laisse libre et prend confiance dans les capacité de son bébé et l’aide uniquement si l’enfant le demande ou est en danger.

C’est aussi connaitre dans quelle situation l’enfant est bien à sa place et dans quelles situation l’adulte met sans le vouloir un frein à sa motricité.

À limiter le plus possible :
Les parcs ne devrait être que peu utilisés. Il enferme l’enfant dans une prison et l’empêche d’aller explorer et découvrir. Il va le retenir dans ses élans de mouvement puisque l’espace y est très petit.

Les transats ou cocoonababy maintiennent les bébés dans une position semi assise, maintenir un bébé assis est délétère pour son tonus, pour l’apprentissage de son corps, de la pesanteur et de sa musculature. Il l’empêche d’apprendre à se retourner et à bouger tout en le privant des bras de ses parents.

Assoir un bébé calé entre deux coussins pour qu’il voit mieux ses parents n’apporte aucun bénéfice à l’enfant, il pourra tout aussi bien profiter d’être avec ses parents si tout le monde s’assoit par terre autour de lui.

Le Youpala est une véritable catastrophe pour la motricité des enfants. Il empêche de poser les pieds bien au sol, de prendre appui, de faire des mouvements alternes, de sentir la pesanteurs, il demande une contraction de propulsion des jambes au lieu d’être un soutient, coupe l’enfant visuellement avec le bas de son corps, l’empêche d’attraper les objets de son environnement autre que ceux situés sur la tablette, coupe l’enfant de la compréhension du danger et du vide. Le youpala offre des sensations de vitesse tellement différentes de ce qu’il pourra connaitre juste en rampant ou en faisant du 4 pattes qu’il demandera à passer encore plus de temps dedans.

Les bonnes idées :
Déposer bébé sur un tapis ferme au sol sur le ventre ou sur le dos.
Retourner bébé quand il en a besoin pour le changer de position mais surtout pour lui montrer comment faire seul.
S’allonger près de son bébé pour échanger un moment.
éloigner les arches d’activité et laisser bébé regarder partout.
Porter son bébé dans ses bras ou en porte bébé physiologique.
Parlez en à votre chiropracteur, nous pourrons vous donner des conseils personnalisés pour mieux comprendre les besoins de votre bébé.

Freins restrictifs buccaux

Tout le monde possède des freins de lèvres, de langue et de joues. Cependant, ils peuvent être restrictifs, ce qui empêche le bon mouvement de la langue ou de la bouche. Dans ces cas les premiers signes vont être des difficultés d’allaitement, des gaz et des reflux, des difficultés d’alimentation lors de la diversification, puis des difficultés de prononciation chez les plus grands. Chez les adultes nous retrouvons des douleurs au niveau de la mâchoire, des maux de tête, des cervicalgies, des positions de tête vers l’avant plus confortable que de se tenir droit.

Certains professionnels non formés regarderont uniquement si le frein va jusqu’au bout de la langue, ce n’est pas suffisant. La question n’est pas de se demander jusqu’où va le frein, mais bien s’il est restrictif ou non.

Votre chiropracteur formé à la détection et aux soins des freins restrictifs va analyser la fonction et la mobilité de la bouche de votre enfant, tout en prenant en compte le reste de son corps : tout est relié.

Nous analyserons quels freins sont en cause et nous commencerons un suivi. Vous aurez des exercices à réaliser à la maison pour maintenir et faire progresser le traitement réalisé lors des séances. Puis nous réévaluerons.
Dans les cas où le travail chiropratique ne suffit pas, la frénèctomie sera envisagée.

La frénèctomie : pourquoi juste couper le frein ne suffit pas ?
Parfois le travail de relâchement manuel des freins n’est pas suffisant, ils doivent être coupés pour vraiment permettre un mouvement correcte de la bouche.

Alors, pourquoi ne pas couper directement ?
La frénèctomie est réalisée par des dentistes ou des ORL formés. Elle peut être réalisée à tout âge et avec des techniques différentes.

Lorsqu’elle est envisagée, il est important de maintenir les séances chiropratique : ce travail est une aide précieuse pour le professionnel qui réalise la frénèctomie.

Nous préparons la bouche pour l’intervention ce qui permet une meilleure précision et de meilleures résultats.
Et maintenant que le frein a été coupé, le travail est-il fini ?
Non, c’est à ce moment qu’il va falloir être le plus assidu.
Grace à la frénèctomie, la restriction a été enlevée, mais il faut s’assurer que la cicatrisation se déroule bien, que les tissus ne se recollent pas et surtout que votre bébé puisse maintenant utiliser sa bouche correctement.

Le nombre de séance est variable, certains enfants comprendront tout de suite quoi faire et intègreront immédiatement l’intervention. Pour d’autres, sortir de leurs habitudes peut être très compliqué et bouleversant.

C’est encore une fois avec votre chiropracteur et des exercices à la maison que vous allez pouvoir voir l’évolution et les bienfaits de l’intervention. Il pourra également vous orienter vers des kinésithérapeutes ou des orthophonistes formés.
Pour une frénèctomie utile : le suivi pluridisciplinaire est indispensable.

Symptômes des freins restrictifs buccaux

Les symptômes des freins restrictifs sont nombreux. Ils peuvent être autant présent chez les bébés que chez les adultes. Cette liste est non exhaustive.

  • Difficulté à utiliser la langue correctement
  • Difficulté à retrousser les lèvres
  • Cloques sur les lèvres des bébés allaités
  • Coulure de lait en tétant ( sein ou biberon)
  • Bruits de succion en tétant ou en buvant au verre
  • Beaucoup de régurgitations ou RGO
  • Avaler beaucoup d’air en mangeant ou en buvant
  • Impossibilité de se lécher les lèvres ou de tirer la langue au menton
  • Difficulté de déglutition 
  • Difficulté d’acceptation des différentes textures
  • Difficultés à avaler un comprimé
  • Lenteur excessive en mangeant
  • Recracher de l’eau dans le verre en buvant 
  • Difficultés de prononciation, d’articulation, zozotement
  • Impossibilité de toucher toutes les faces des dents avec la langue
  • Palais creux (en cathédrale ) 
  • Réflexe nauséeux très sensible ou vers l’avant de la bouche
  • Caries
  • Résidus alimentaires sous la levure supérieure 
  • Difficulté de brossage
  • Depot de tartre important 
  • Avaler de l’air en mangeant ou en buvant
  • Faire des fausses routes alimentaires 
  • Mauvaise croissance des os de la mâchoire 
  • Retrognatie ( menton vers l’arrière)
  • Mâchoire très étroite, visage très fin 
  • Chevauchement des dents, orthodontie
  • Respiration par la bouche et non le nez
  • Maladies ORL courantes 
  • Sommeil léger ou agité
  • Douleurs cervicales 
  • Maux de tête
  • Bruxisme, grincement de dents
  • Mouvements cervicaux lors des mouvements de la langue ou de la mâchoire
  • Positions tête vers l’avant plus confortable que de se tenir droit 
  • Sourire gingival
  • Douleur de mâchoire
  • Lombalgies

Les freins restrictifs pourront créer chacun de ces points. Mais il pourront aussi être liés à d’autres facteurs !

Parlez-en à votre chiropracteur.